L’art qui dialogue avec l’environnement
Communiqué de presse
Suite au succès de l’exposition Tissage Tressage… quand la sculpture défile à l’Isle-
La deuxième partie du XXe siècle a été le théâtre de l’émancipation de l’art textile qui entraîna la remise en cause de ses codes traditionnels. En devenant sculpture, le tissage et le tressage tendent à exprimer une autre vérité à la fois singulière et universelle, tout en s’entremêlant à de grands courants de pensée comme le structuralisme ou le féminisme. Sont présentées dans ce registre à la Villa Datris des oeuvres de Sonia Delaunay, Christian Jaccard, Sheila Hicks, Pierre Daquin, Patrick Saytour et Judy Tadman.
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Gilles Aillaud
Important
Marika Prévosto
À
sandie hatem
jul 1 à 2h10 PM
Gilles Aillaud, Le silence sans heurt du présent
En coproduction avec les Musées des beaux-
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Exposition du 10 décembre 2016 au 05 mars 2017.
Fondation Maeght, 623 chemin des Gardettes – 06570 Saint-
Exposition du 10 décembre 2016 au 30 mars 2017.
Espace de l’Art Concret, château de Mouans – 06370 Mouans-
À l’Espace de l’Art Concret, mettant en jeu le concept d’art total dans C’est à vous de voir..., , Pascal Pineau investit les espaces du Château pour en retrouver la fonction originelle, interrogeant la valeur d’usage des œuvres. Expérimentant les limites du décoratif et de l’ornemental, il ouvre un dialogue entre pièces issues de l’artisanat, du design, objets de brocante et œuvres d’art ‘proprement dites’. Ainsi, les salles d’exposition se transforment en une succession d’espaces domestiques fictifs. Cuisine, bureau, salon, chambre d’enfant, suite parentale… chaque pièce peut se percevoir comme un portrait en creux de l’artiste qui pose un regard introspectif sur une trentaine d’années de pratique artistique.
Sur l’invitation de Pascal Pinaud, Alexandre Curtet, fondateur de Loft interior designers, a été sollicité pour concevoir l’aménagement intérieur de ces espaces en dialogue avec ses œuvres, mais aussi celles d’artistes avec lesquels ce dernier partage des affinités esthétiques, comme Noël Dolla, Mathieu Mercier, Natacha Lesueur, Philippe Ramette…
Exposition du 15 février au 29 juin 2019. Fondation Villa Datris Paris – 9, rue Monte-
L’espace voisin et le patio adjacent sont offerts aux oeuvres de Marinette Cueco, cueilleuse d’herbes sauvages dont elle est experte en botanique pour sélectionner et traiter les fibres à son gré, depuis plus de 50 ans de pratique en campagne, mais aussi dans les parcs et jardins parisiens où prolifèrent nombre de ses ressources végétales. Celles-
© ArtCatalyse / Marika Prévosto 2007 -
L’escalier, investi pas les légers volumes colorés d’Edith Meussnier confrontant bambou et bolduc pour attraper la lumière dans une multitude de flux éphémères, entre souplesse et rigidité, mène aux oeuvres des générations suivantes, qui bousculent nos repères par le détournement du motif, de l’échelle ou du matériau.
La petite sculpture de Joana Vasconcelos, qui nous habitue ailleurs à d’immenses volumes expansés dans des lieux tel actuellement le Bon Marché à Paris, voisine avec l’énorme corde rouge de Lilian Bourgeat perforant le mur voisin d’éclats et encerclant une poutre centrale. Annette Messager et Laure Prouvost -
Menant à la salle finale de l’exposition, la librairie abrite une importante pièce réalisée en 2016 par un collectif de femmes du Burkinafaso à partir de sacs plastiques découpés et crochetés (dimensions: 260 x 130 cm). Dans la pièce suivante, la Corde à noeuds de Lilian Bourgeat circonscrit l’epace intitulé “Tisser le monde” où se dresse un panoama international d’oeuvres de toute natures et propositions. S’y côtoient la théâtrale dame en noir revêtue de sacs poubelle noués de Stephanie-
Au rez-
Cette exposition à ne pas manquer est visible jusqu’à fin juin en entrée libre.