ArtCatalyse : l'art qui dialogue avec l'environnement

Expositions en cours


  L’art qui dialogue avec l’environnement



Épochè (ici)
Les Tanneries, centre d’art contemporain d’Amilly

02.04 - 29.05.2022





 







 




 

 












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Communiqué de presse


Extraits de l’éditorial d’Eric Degoutte, directeur des Tanneries


L’approche, comme art d’envisager, comme art de la conduite, se lie aux enjeux de la saison #6 des Tanneries à Amilly, dont l’intitulé – DRAW LOOM – renvoie à l’entremêlement des conditions de production d’un motif, sur fond d’une pratique constamment rejouée dans les jours des lisses et par-delà les fils sautés, de fils de chaîne en fils de trame.

Sally Bonn, en tant que commissaire d'exposition, distille cet appel en convoquant la poésie et le mystère de l’épochè, cet instant si singulier de la suspension du jugement qui concentre l’accomplissement des choses dans la fragilité d’un instant, d’un vécu ; non pas le sien propre, mais celui d’une conscience à l’oeuvre. Cette conscience est considérée dans l’approche autant qu’à l’approche, dans ce moment même où le regard s’opère à travers des apparentements et des organisations.





 





































































 













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Recherche





























































































































































































Gilles Aillaud

Important



Marika Prévosto

À

sandie hatem

jul 1 à 2h10 PM

Gilles Aillaud, Le silence sans heurt du présent

En coproduction avec les Musées des beaux-arts de Rennes et de Saint-Rémy de Provence, cette rétrospective parrainée par la Fondation d’Entreprise Michelin est la première grande exposition consacrée à l’artiste depuis 10 ans. Une cinquantaine de tableaux provenant de grandes collections publiques et privées seront exposés au FRAC Auvergne.























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Exposition du 10 décembre 2016 au 05 mars 2017.
Fondation Maeght, 623 chemin des Gardettes – 06570 Saint-Paul de Vence. Tél. : +33 (0)4 93 32 81 63. Ouverture tous les jours de 10h à 18h.

Exposition du 10 décembre 2016 au 30 mars 2017.

Espace de l’Art Concret, château de Mouans – 06370 Mouans-Sartoux. Tél. : +33 (0)4 93 75 71 50. Ouverture du mercredi au dimanche de 13h à 18h.

À l’Espace de l’Art Concret, mettant en jeu le concept d’art total dans C’est à vous de voir..., , Pascal Pineau investit les espaces du Château pour en retrouver la fonction originelle, interrogeant la valeur d’usage des œuvres. Expérimentant les limites du décoratif et de l’ornemental, il ouvre un dialogue entre pièces issues de l’artisanat, du design, objets de brocante et œuvres d’art ‘proprement dites’. Ainsi, les salles d’exposition se transforment en une succession d’espaces domestiques fictifs. Cuisine, bureau, salon, chambre d’enfant, suite parentale… chaque pièce peut se percevoir comme un portrait en creux de l’artiste qui pose un regard introspectif sur une trentaine d’années de pratique artistique.

Sur l’invitation de Pascal Pinaud, Alexandre Curtet, fondateur de Loft interior designers, a été sollicité pour concevoir l’aménagement intérieur de ces espaces en dialogue avec ses œuvres, mais aussi celles d’artistes avec lesquels ce dernier partage des affinités esthétiques, comme Noël Dolla, Mathieu Mercier, Natacha Lesueur, Philippe Ramette…







L’exposition épochè (ici) regroupe un bel ensemble d’oeuvres pensées comme autant de moments pointés sur les conditions de cet état de suspension qui s’y niche et y résonne.

À travers leurs diversités formelles, leurs natures distinctes et leurs séquençages au sein de l’exposition, les créations ainsi mises en dialogue font poindre, dans leurs contiguïtés, autant de points distanciés.

Pour répondre à l’invitation qui lui a été faite d’être la commissaire d’une exposition collective se déployant sur l’ensemble du centre d’art et les salles d'expositions temporaires du musée Girodet, Sally Bonn, écrivaine et critique d’art, a choisi de renouer avec une recherche au long cours menée autour de la notion d’épochè. Donnant son nom à l’exposition, elle signifie, étymologiquement, « l’arrêt », « l’interruption », « la cessation », puis, dans les domaines de la philosophie et de la psychanalyse, « la suspension du jugement ».

Soudainement réactivée à l’épreuve des épisodes de confinements qui ont jalonné ces deux dernières années – expériences de suspension par excellence de nos vies en ébullition ! –, cette recherche trouve enfin (ici) l’espace et le temps de son activation et de son déploiement.

Véritable passage à l’acte curatorial, épochè (ici) nous incite donc à « faire l’expérience d’une suspension du temps, du regard, du jugement ». Sally Bonn formule ainsi le pari de réactiver en l’actualisant poétiquement la posture philosophique et antique du retrait pour mieux donner à voir et à comprendre notre monde, dans l’entre-deux des catastrophes passées dont il conserve les mémoires et les traces et de celles potentiellement à venir qu’il contient en puissance.


Qu’elles soient inédites et réalisées in situ, passées et réactivées pour faire écho à la mémoire industrielle du centre d’art ou encore les sources de matériaux d’autres créations à venir, les oeuvres mises (ici) en dialogue constituent en effet, chacune à leur manière,

des formes d’observations et de transformations, à la fois documentaires et lyriques, du monde, depuis ses tréfonds jusqu’aux constellations qui l’englobent en passant par ses surfaces et reliefs. À la croisée des arts et des sciences humaines et dites « dures », de la philosophie et de la littérature, de la politique et de la géopolitique, les oeuvres de cette épochè sont autant de mises en application de protocoles poétiques de décryptages micro- et macro-scopiques du monde. Elles étudient les phénomènes qui l’animent, les matières, les couleurs, les textures et les éléments – naturels comme culturels – qui le composent, tout autant qu’elles questionnent ses représentations, ses histoires, ses devenirs et ses mystères – catastrophiques ou merveilleux.

Véritable poème déployé tenant à la fois du manifeste et du palimpseste, l’épochè concrétisée par Sally Bonn se meut ainsi en une épopée composée de mille récits, ouverte et non-linéaire, puissante et fragile, intime et collective. Entre phénoménologies, contemplations et métamorphoses, réminiscences, fantasmes et aspirations, rétrospections et prospections, tout se passe comme si nous faisions finalement l’expérience d’une introspection primordiale. Aurions-nous, dès lors, un coup d’avance sur le destin ? Rien n’est moins sûr. Sally Bonn nous rappelle d’ailleurs, çà et là, qu’à trop s’extraire on peut se perdre. Ce faisant, elle semble nous engager à continuer d’osciller et de flotter, tels le pendule ou le nuage. Symboles d’une réflexion et d’une imagination en cours, ils soulignent la qualité de voyage immobile de l’épochè dont la fixité apparente n’est autre que l’expression secrète du mouvement qui (nous) anime le monde.


Avec les oeuvres de Benjamin L. Aman, Joan Ayrton, Cécile Beau, Leïla Brett, Anne-Lise Broyer, Charlotte Charbonnel, Sépànd Danesh, Marina Gadonneix, Anne-Valérie Gasc, Agnès Geoffray, Anne-Louis Girodet, Marco Godinho, Amélie Lucas-Gary, Benoît Maire, Estefanía Peñafiel Loaiza, Aurélie Pétrel, Katja Schenker, Suspended spaces, Raphaël Tiberghien, Emmanuel Van der Meulen, Arnaud Vasseux et Virginie Yassef.



Note d’intention de Sally Bonn (extraits)


Circonscrivons un espace et un temps qui soient ceux de la suspension. Suspension du jugement, de la catastrophe, du flux temporel. Une épochè. [...]

Entre la montée et la redescente, l’ouverture et la fermeture, quelque chose est advenu, un moment, suspendu, un instant. Une saccade ou encore une fulgurance. Tout un vocabulaire s’agrège soudain à cette suspension que le mot représente tout d’abord visuellement et que son sens confirme. En grec, en effet, l’épochè signifie « cessation, interruption, arrêt ». En philosophie, il désigne la suspension du jugement.

Le terme apparaît en Grèce, au troisième siècle avant J.-C., chez Arcésilas de Pitane (chef de la 2e Académie de Platon), pour désigner l’attitude du sage qui ne doit ni affirmer, ni infirmer, ni approuver face à des arguments opposés. L’épochè consiste alors à suspendre son assentiment. Le terme est repris par Sextus Empiricus, au IIIe siècle, et désigne l’attitude du sceptique. L’épochè est la suspension du jugement, autrement dit, le refus de donner son assentiment soit à la raison, soit à l’imagination.

Au début du XXe siècle, la notion est réintroduite par la phénoménologie à travers Edmund Husserl. L’épochè a chez lui un sens philosophique majeur. La suspension du jugement est une opération philosophique de lointaine origine cartésienne qui permet de s’extraire du monde pour atteindre à la conscience pure, à l’égo transcendantal. Il s’agit de mettre le monde entre parenthèses, de s’abstraire de ses phénomènes, pour mieux le contempler et le penser. Parce que, pris dans le tissu du monde, je ne peux ni le voir ni le penser : il me faut m’en extraire. Cette épochè est une tactique, une réduction du monde au je.

La mise en suspens phénoménologique est aussi un pas de côté par rapport au réel : mise entre parenthèses de nos connaissances, des idéologies, des actions et du temps. La suspension du jugement, l’épochè, est une pratique de la liberté, un désengagement qui est engagement, qui est action. Si elle éloigne tout investissement réflexif, elle ne supprime pas la perception sensible, elle permet au contraire d’en user pour explorer l’apparition des phénomènes du monde. Elle est, au fond, un espace pour penser, pour penser autrement le monde autour de nous, ce monde fait de trajectoires, de flux, entraîné sans cesse dans le chaos, le grouillement et les gesticulations. [...]


L’épochè est un dessaisissement de l’emprise du monde, l’ouverture d’un espace de création. Il s’agit de mettre en suspens le continuum de l’Histoire, de se retirer du flux continu. De suspendre la catastrophe. De s’installer dans un temps qui est retrait, dans le temps

d’avant, quand tout est encore possible, quand rien n’est encore advenu. La veille.

Celle, temporelle, d’un temps qui précède, celle du jour d’avant. Mais aussi et surtout, peut-être, celle de la vigilance – d’où le mot provient –, de la garde. Le temps de l’épochè est un temps de veille et de garde. Une période de latence où les choses ne sont pas encore « réelles » et arrivées, mais flottantes. Il ne s’agit pas de supposer que la catastrophe est en train d’arriver, nous ne supposons rien quant à l’à-venir. Nous proposons seulement un temps d’arrêt. Walter Benjamin rapportait, dans ses notes sur le concept « d’histoire », le récit d’un épisode de la Révolution de Juillet, quand, au soir du premier jour de combat, à divers endroits de la ville de Paris et au même moment, des gens tiraient sur les horloges pour arrêter le temps.

Lorsque la pensée s’immobilise dans une constellation saturée de tensions, l’image dialectique apparaît. C’est la césure dans le mouvement de la pensée ». […] Notre époque est cette constellation saturée de tensions, elle appelle la suspension et le retrait. Les nécessite. Difficile d’ailleurs, de ne pas entendre dans épochè, le mot « époque » : c’est son étymologie. Dans cette époque, il nous faut trouver une attitude, une position, une posture : de veille et de garde, donc. Et tirer de cette posture une force, une puissance, au sens aristotélicien, c’est-à-dire du possible et de l’indéterminé.


L’exposition épochè est une suspension, fixant momentanément mais dans un temps indéfini une multiplicité de propositions plastiques qui communiquent ce choc cristallisant. L’origine de l’étonnement est la foudre, l’éclair et la stupeur qu’elles produisent.

Les artistes réunis (ici) pour cette épochè proposent, dans ce pli du temps suspendu, de faire face au monde et à l’époque et, par leurs oeuvres, comme le proposait Victor Hugo, dans un passage des Misérables, « d’étonner la catastrophe ». La suspension a ce pouvoir.

Les oeuvres présentées dans les différents espaces entrent en correspondance et racontent une histoire de la perception des phénomènes du monde et de l’espace, du temps et de ce qui arrive. L’extension au musée Girodet à Montargis en est un écho vibrant.

épochè (maintenant) qui suivra à art-cade*, Galerie des grands bains douches de la Plaine, à Marseille, en prolongera les réflexions à partir de nouvelles mises en dialogues d’autres oeuvres de la même liste d’artistes.


Quelques textes provenant de sources tel Wikipedia peuvent aider à la compréhension de l’épochè et de sa mise en pratique dans l’exposition de Sally Bonn.


Le mot “épochè” signifie littéralement “interruption”. Ce terme a été employé en Grèce antique par les Stoïciens et les Sceptiques pour désigner la “suspension du jugement”. Husserl a repris ce terme pour définir l'opération de doute méthodique qu'il met en oeuvre et qu'il considère comme plus radicale encore que celle utilisée par Descartes. C'est en effet la méthode d'époche, ou réduction phénoménologique” qui permet de poser la certitude de l”ego cogito. Chez Husserl, cette méthode d'analyse philosophique consiste à suspendre tout jugement concernant la réalité du monde. L'objectif est de s'accomplir soi-même grâce à une méditation qui s'adresse non à soi-même comme individu unique dans le monde, mais au « moi vivant dans le monde », la suspension intervenant dans ce moment relationnel précis du vécu de la conscience. En phénoménologie, l’épochè désigne la mise entre parenthèses de toute thèse portant sur le monde, l’abstraction des phénomènes pour mieux les contempler. Elle implique un sens profondément politique, une attitude révolutionnaire.

La « réduction phénoménologique » ou époché  en grec (ἐποχή / epokhế) consiste pour Husserl à suspendre radicalement l'« approche naturelle » du monde, et à mener une lutte sans concession contre toutes les abstractions que la perception naturelle de l'objet présuppose ; cette suspension devant permettre l'accès aux « choses mêmes ». La première réduction phénoménologique cherche un fondement indubitable pour la connaissance et pour ce faire, le monde naturel du sens commun est simplement « mis entre parenthèses », cette opération n'est donc pas un déni du monde ni la mise en doute de son existence.

Husserl reprend l'espérance cartésienne d'une philosophie comme « science universelle, possédant des fondements absolument certains », pouvant servir de d'appui aux autres sciences. Pour ce faire, la méthode consiste à ramener la connaissance à « des intuitions absolues au-delà desquelles on ne peut remonter ». L'effort d'adapter la pensée philosophique aux moindres détails qui font l'ordinaire de notre vie quotidienne dans le monde a conduit à une phénoménologie qui dit tout du monde et qui tait l'essentiel. L'essentiel est de savoir d'où, de quel point de vue, le sujet assiste à la révélation du monde. C'est cette question précisément, qui constitue l'enjeu de la « réduction phénoménologique » »

Appliquée à l'objet, la réduction phénoménologique devient discipline qui, levant la naïveté de l'attitude naturelle, décompose l'opacité de l'objet pour rechercher les actes qui l'ont composé dans un processus de synthèse.

L'universelle « mise hors valeur » de toutes les attitudes que nous pouvions prendre vis-à-vis du monde objectif (jugement, intuition, existences réelles, possibles ou hypothétiques, apparence) ne nous placent pas devant un pur néant. Ce qui me reste en tant que sujet méditant, c'est ma « vie pure » et ce qui devient à cette occasion « mien », c'est l'universalité des phénomènes à travers laquelle le monde objectif tout entier existe pour moi.

Chacun d'entre nous vivons dans un seul et même monde, au contenu variable, illimité dans le temps et dans l'espace. Ce monde, dans lequel nous sommes incorporés, par notre esprit et notre corps n'est pas un simple monde des choses, mais il est tout à la fois, en arrière-plan, un monde de valeurs, de biens et un monde pratique. La reconquête du sens du monde n'est jamais achevée.


En phénoménologie, l’« attitude naturelle », le point de vue qui s'exprime à travers la « thèse du monde » correspond à ce que l'homme en perçoit, tel qu'il le vit naturellement, formant des représentations, jugeant, sentant, voulant. « J'ai conscience d'un monde qui s'étend sans fin dans l'espace, qui a et a eu un développement sans fin dans le temps ». Faisant face à la conscience, « l'attitude naturelle me fait découvrir un monde de choses existantes, elle m'attribue aussi un corps situé dans ce monde et de m'inclure moi-même dans ce monde ». À noter que le monde de l'attitude naturelle n'a rien à voir avec ce que l'on appelle « vision du monde », ni avec le monde de la quotidienneté. Ce qui est visé c'est ce qui commande toutes les possibilités, toutes les attitudes. Ainsi, pour Eugen Fink,  « l'attitude naturelle est l'attitude essentielle, appartenant à la nature de l'homme, l'attitude constitutive de l'être-homme même, de l'être-homme orienté dans le tout du monde [...] ». « Toutes les attitudes de l'homme demeurent fondamentalement à l'intérieur de l'attitude naturelle ».

Chacun d'entre nous, vivons dans un seul et même monde, au contenu variable, illimité dans le temps et dans l'espace. Ce monde, dans lequel je suis moi-même incorporé, n'est pas un simple monde des choses, mais il est tout à la fois, en arrière-plan, un monde de valeurs, de biens et un monde pratique. Selon Paul Ricoeur, dans l'« attitude naturelle », l'illusion la plus constante de la « thèse du monde » est la « croyance » naïve à l'existence « en soi » de ce monde et que sa perception empirique directe serait a priori plus certaine que la réflexion. Il remarque : « Le sens radical de l'attitude naturelle ne saurait apparaître en dehors de la réduction qui le révèle au moment où elle le suspend » L'attitude naturelle en tant qu'être de l'homme dans le monde selon tous ses modes est un « résultat » constitutif et comme tel un moment intégral de la vie transcendantale elle-même » écrit Eugen Fink. Le monde n'est pas posé, il est rencontré.

Emmanuel Levinas constate que la suspension du monde n'est pas une procédure provisoire mais qu'elle se voudrait définitive car elle représenterait pour l'esprit une manière d'être libre par rapport au monde, et la « réduction », l'existence de l'homme, pourvue d'une conscience absolue (relative à rien), ne consiste plus à s'engager dans un monde préalablement constitué, mais à prendre conscience de sa position dans la mise à jour de toutes les évidences, c'est-à-dire dans la liberté.

 







Agnès Geoffray, Le Funambule, 2021 (détail). Courtesy de l’artiste

Agnès Geoffray, Le Funambule, 2021 (détail). Courtesy de l’artiste

Exposition du 2 avril au 29 mai 2022. Les Tanneries centre d’rt contemporain, 234 rue des Ponts - 45200 Amilly. Tél. : +33 (0)2 38 85 28 50. Ouverture du mercredi au dimanche de 14h30 à 18h. Entrée libre.




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