Exposition en cours
L’art qui dialogue avec l’environnement
Communiqué de presse
La Galerie Sabine Bayasli présente du 27 janvier au 24 février un nouveau duo-
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Gilles Aillaud
Important
Marika Prévosto
À
sandie hatem
jul 1 à 2h10 PM
Gilles Aillaud, Le silence sans heurt du présent
En coproduction avec les Musées des beaux-
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Exposition du 10 décembre 2016 au 05 mars 2017.
Fondation Maeght, 623 chemin des Gardettes – 06570 Saint-
Exposition du 10 décembre 2016 au 30 mars 2017.
Espace de l’Art Concret, château de Mouans – 06370 Mouans-
À l’Espace de l’Art Concret, mettant en jeu le concept d’art total dans C’est à vous de voir..., , Pascal Pineau investit les espaces du Château pour en retrouver la fonction originelle, interrogeant la valeur d’usage des œuvres. Expérimentant les limites du décoratif et de l’ornemental, il ouvre un dialogue entre pièces issues de l’artisanat, du design, objets de brocante et œuvres d’art ‘proprement dites’. Ainsi, les salles d’exposition se transforment en une succession d’espaces domestiques fictifs. Cuisine, bureau, salon, chambre d’enfant, suite parentale… chaque pièce peut se percevoir comme un portrait en creux de l’artiste qui pose un regard introspectif sur une trentaine d’années de pratique artistique.
Sur l’invitation de Pascal Pinaud, Alexandre Curtet, fondateur de Loft interior designers, a été sollicité pour concevoir l’aménagement intérieur de ces espaces en dialogue avec ses œuvres, mais aussi celles d’artistes avec lesquels ce dernier partage des affinités esthétiques, comme Noël Dolla, Mathieu Mercier, Natacha Lesueur, Philippe Ramette…
Après avoir étudié les techniques anciennes et contemporaines de la fresque à l’ENSAAMA Olivier de Serre de Paris, l’artiste plasticienne Magdalena Lamri, née en 1985, s’est installée avec son atelier à Montreuil.
C’est à la frontière du rêve et de la réalité que s’ancre le travail de Magdalena Lamri. Empreint de mélancolie et d’onirisme, son travail joue avec les paradoxes et les dualités (ombre/lumière, rêve/réalité et autres oppositions conceptuelles). Il lève le voile sur nos peurs contemporaines, nos espoirs aussi et propose un monde singulier, sublimé, duquel l’humain souvent s’absente.
Le fusain de Magdalena Lamri invente des forêts, des cabanes, des espaces imaginaires...tout autant de refuges propices au rêve et à la poésie.
Andreas Senoner, né en 1982 à Bolzano en Italie, vit et travaille à Florence. Il a fréquenté l’Académie des beaux-
Senoner concentre ses recherches sculpturales sur une série de thèmes principaux: la métamorphose, le patrimoine et la stratification, au niveau réel et symbolique. Avec ses sculptures, il plonge dans les relations qui relient l’individu, le contexte évolutif dans lequel il réside, et les éléments qui contribuent à cette transformation.
Pour ses œuvres d’art, il sélectionne et utilise des matériaux singuliers, principalement issus de sources animales mais aussi végétales: bois, plumes, lichens, tissu, cire d’abeille -
Senoner transpose les processus sculpturaux traditionnels dans une perspective contemporaine, basée sur le message qu’il doit transmettre, dans un langage strictement lié à la nature concrète des matériaux et sujets choisis pour son propos. Il tente d’établir un dialogue et d’induire un parallélisme avec les propres souvenirs du spectateur.
Dans le LAB Projets : Jérôme Combe -
Texte de Sergio Alvarez
Le travail de Jérôme Combe illustre parfaitement le principe général énoncé par Oscar Wilde selon lequel « la vie imite l’art bien plus que l’art n’imite la vie ».
Le regard singulier qu’il pose sur la nature, son sujet de prédilection, en cheminant à la recherche de la lumière qui résonnera avec ses états d’âme, lui fait produire des images dont le charme mystérieux révèle non pas seulement la beauté mais l’essence même des choses.
Jérôme Combe, D’eau et de lumière *5. Photographie argentique, impression sur papier coton, contrecollage aluminium et caisse américaine patinée, 30 X 30 CM Édition 1/5, 2018
Exposition du 27 janvier au 24 février 2024. Galerie Sabine Bayasli, 99 rue du Temple -
et sur rendez-
Tel un Turner ou un Corot, il nous donne à voir ce que nous avions peut-
Jérôme Combe capture la lumière et les couleurs avec une acuité et une précision sans faille. Il le fait à la manière d’un peintre, au point qu’on ne sait pas toujours très bien si on a affaire à une toile ou à un tirage photographique. Ses compositions sont dépourvues d’horizon mais restent néanmoins ouvertes, laissant la possibilité au spectateur d’étendre son regard et d’interpréter l’espace qui lui est offert.
Les accumulations de détails dans un cadre serré, tiré au cordeau, jouent avec nos repères visuels en créant autant d’équilibres subtils que de basculements incertains. Chacune de ses œuvres est ainsi un témoignage de l’infini des possibilités que nous offre le vivant.
© ArtCatalyse / Marika Prévosto 2007 -